Mes réflexions
Des hommes dans les compétitions féminines, l’endoctrinement des enfants et un mouvement woke en déclin.
Autrefois sanctuaire de l’effort, du travail acharné et de la discipline, le sport a aujourd’hui pris l’apparence d’un cirque extravagante où l’« inclusion » piétine la justice. Des hommes qui se « sentent » femmes osent concourir aux côtés des athlètes féminines, remettant ainsi en question les notions même d’équité. Le plus insensé : ce phénomène est non seulement toléré, mais célébré, tandis que l’indignation du grand public est sciemment ignorée.
Le vote dissident lors des élections aux États-Unis a été un véritable cri de refus à l’égard d’une minorité radicale imposant ses propres règles. La rhétorique woke et les impositions idéologiques des lobbys LGBTQ+ ont métamorphosé le monde du sport, infiltrant les écoles et transformant les universités en bastions d’un discours biaisé sous couvert de progressisme.
Il est regrettable de constater que la presse, loin de jouer son rôle de contre-pouvoir, a souvent agi comme complice, stigmatisant les voix qui posent des questions légitimes, réduisant le débat au silence et façonnant l’opinion publique pour instaurer une narration unique. Malgré cela, les voix dissidentes commencent à s’exprimer, traduisant la frustration d’une majorité.
Des cas comme celui de Lia Thomas, nageur moyen devenu champion après un changement de catégorie, ou encore Laurel Hubbard, qui a éliminé des athlètes féminines lors des Jeux de Tokyo 2020, illustrent cette injustice travestie en inclusion. Ces histoires sapent l’intégrité des femmes et les valeurs fondamentales que le sport devrait promouvoir.
Cette problématique transcende le monde sportif. Dans les salles de classe, des enfants encore incapables de lire se voient enseignés des notions d’identité de genre. Cet endoctrinement ignorent le droit des parents à élever leurs enfants selon leurs valeurs, ainsi que le droit des enfants à bénéficier d’un éducation exempte de telles idéologies.
L’indignation des citoyens s’est exprimée par leur vote. Les voix dissidentes sont présentes, claires et fermes, et le monde ne peut plus les ignorer.
Au sein des universités, la pensée critique a été évincée au profit d’un monologue idéologique. Ce radicalisme se manifeste également par des discours antisionistes empreints de haine. Cependant, de récents sondages indiquent une montée du rejet de ces idées, même parmi les jeunes les plus exposés à ces discours.
Ces dernières années, une indignation collective s’est intensifiée. Car l’activisme qui promeut ces agendas ne cherche pas à dialoguer, mais à imposer l’obéissance. Il ne suffit pas d’accepter ; il est exigé de célébrer et de s’en réjouir avec ferveur. Toutefois, cette tendance est de plus en plus contestée. La population est fatiguée de voir la justice et la logique sacrifiées sur l’autel de progressismes absurdes.
Une véritable inclusion devrait respecter les droits de chacun, sans empiéter sur ceux des autres. Actuellement, les femmes se retrouvent marginalisées, contraintes d’accepter des concurrents aux avantages biologiques indéniables et, à la limite, de partager des espaces privés avec des hommes trans. Cette réalité va à l’encontre des principes du féminisme et des droits pour lesquels elles se battent.
Le récent vote dissident dans de nombreux États américains est un cri de dignité. Des voix auparavant silencieuses exigent désormais justice pour les enfants, respect pour les femmes et liberté pour les familles. Ce n’est pas de la haine que de vouloir protéger le sport, les écoles et les valeurs familiales de cette invasion idéologique. C’est un appel urgent à rétablir l’ordre au sein du chaos.
L’indignation des citoyens s’est exprimée par leur vote. Les voix dissidentes sont présentes, claires et fermes, et le monde ne peut plus les ignorer.
Le point de vue Sportif
Dans le débat actuel sur l’inclusion dans le sport, il est essentiel de garder à l’esprit les valeurs fondamentales qui régissent les compétitions sportives. Il apparaît nécessaire de trouver un équilibre entre l’inclusion de tous et le respect des règles qui garantissent l’équité. À mon avis, garantir l’équité dans le sport ne devrait pas être vu comme un discours restrictif, mais plutôt comme un acte de protection des droits des athlètes féminines. Chaque athlète mérite d’évoluer dans un environnement juste, où l’effort et le talent sont les seuls critères d’évaluation.
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